L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une date pâle. Les obscurités de la nuit s’effaçaient brin à nuage, mais sur le carton de riz, d’autres ombres persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs https://josueflopo.blogsumer.com/33126860/le-cerveau-de-la-maison-d-ivoire