La nuit tombait délicatement sur malintrat, enveloppant les toits d’une méfiance diffuse que seules les lanternes venaient attrister par intermittence. Dans le silence de sa chambre, Éléonore Duprey fixait la seconde lettre posée censées elle, son regard oscillant entre attrait et appréhension. La voyance, qui jusque-là n’avait duré pour elle https://louistyzaz.blogocial.com/l-écho-de-la-destinee-69343047