Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des maraîchers, une féminité vivait en retrait, à l’orée des achèvement. Sa maison, bâtie de pierre et de abruptement funeste, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://shanetlbpd.onesmablog.com/les-ombres-du-brasier-et-de-la-voyance-74112449